Lecko et Cog’X publient une étude percutante sur un phénomène que nous vivons tous, souvent sans en prendre pleinement conscience : l’hyperconnexion.
Le revers numérique du télétravail
Depuis la généralisation du télétravail post-Covid, notre quotidien professionnel s’est digitalisé à grande vitesse. Visios, chats, mails : les outils numériques ont fluidifié les échanges… mais à quel prix ? L’étude révèle une pression nouvelle, continue, qui met à mal la qualité de vie au travail (QVT) et la performance collective.
Trois signaux d’alerte
L’étude met en lumière trois indicateurs majeurs de l’hyperconnexion :
- Travail en débordement : 40 % des cadres envoient régulièrement des emails en dehors des horaires de travail.
- Réunions à outrance : plus de la moitié seraient inutiles ou réductibles, d’après 58 % des salariés.
- Multitâche permanent : 56 % des personnes ressentent une fatigue après seulement deux heures consécutives de visio.
Résultat : une spirale dangereuse mêlant surcharge cognitive, fatigue, désengagement et risques de burn-out.
Un enjeu stratégique pour les RH
Au-delà du bien-être individuel, c’est la responsabilité des organisations qui est en jeu. L’entreprise doit adopter un rôle actif : prévenir les risques, protéger les ressources cognitives, éviter les contentieux liés à la surcharge.
Et l’IA dans tout ça ?
Loin d’être une baguette magique, l’IA générative ne réduit pas d’elle-même les excès de sollicitations numériques. Ce n’est qu’un levier parmi d’autres – encore faut-il revoir en profondeur les pratiques de collaboration.
Gr33t : une réponse innovante
Gr33t mesure et gamifie les bonnes pratiques numériques : temps de réunion, plages de débordement, multitâche… Objectif : ré-introduire des facteurs de récupération pour améliorer la QVCT et la performance.
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